Pas à pas
Pas à pas….j’ouvre… des yeux.., aux étalages
Le cœur des hommes du rien de leurs âges
Rien qu’un médiocre silence
Qui hurle enfin les ordres
Lui venant du temps qui balance
La vie fallait-il la mordre ?
Comme une mauvaise rumeur
La mort est de mauvaise humeur
Ce bon tonton farcissant de persil
Les têtes de veaux blanches
Et pourtant est-ce facile ?
Rien dans le cœur, rien dans les manches !