Top articles
-
Les avaleurs de larmes accumulent leurs citernes dans mers sec.
Les avaleurs de larmes accumulent leurs citernes dans mers sec. Il ne faut pas se lire descendre oui s'oublier se perdre s'indicer pour les autres se tuyautés se peignés fin se pister se plaisanter s'inviter a ses bals s'uniformiser au besoins se radardiser...
-
Pas à pas
Pas à pas….j’ouvre… des yeux.., aux étalages Le cœur des hommes du rien de leurs âges Rien qu’un médiocre silence Qui hurle enfin les ordres Lui venant du temps qui balance La vie fallait-il la mordre ? Comme une mauvaise rumeur La mort est de mauvaise...
-
Je vous chemine
Je l’entendais devinant (elle) J’attends la pierre belle (bêle) Je l’attendais comme le sel JE VOUS CHEMINE ENFER JE VOIS LA MINE Profond j’avoue Profond j’avoue Ces baisers dans le cou Ces baisers dans le cou Je vous voudrais utile Et pourtant si futile...
-
Mon monde
Désert qui pousse malgré tout Les hommes ...malgré.malgré Vous savez..Vous savez il y a des bombes .. Des êtres trépignants ....Rien ne me semble atteindre ... J'avais dans les poches avant .... Autres choses que du sables .. Des caillots de sang à vingt...
-
Parapine
Et pourtant, allez savoir pourquoi Les rêves restent dans leurs carquois Ah plus de flèches au cul ! Le temps tout drôle est à l’actu .. Les mots s’inventent en Chine Comme la typhoïde à Parapine Ma copine à chimère mon usine à sable Disparu des poches...
-
A Sylvie
Ce jour là elle brillait l’étoile qui dragonnait mais la blancheur… Un peux plus seul sur la route, sur le coté manquait une fleur … Messieurs et mesdames une disparition, une de plus une de moins Elle avait pourtant le sourire des séraphins Des yeux...
-
Les araignées
Par charité les araignées tissent les toiles Sur nos têtes qui s’aveuglent aux étoiles Avec ses ondoiements qui saccadent nos os Nous qui transformons inutilement nos sanglots En filles, sans colère, oui frappons nos tambours Je ne me souviendrais de...
-
Sur mon ours
Dans la cité danse un petit volcan La nuit noire absorbe leur boucan Qui sait les histoires de big bang ? A l’époque, je me souviens du tang Une boisson au contour chimique Avec de vraies conneries cosmiques Il pleut sur mon ours sur ma plaine Il reste...
-
La vie
Les boulevards dévoués aux agents aux chiens muselés …Les arrestations régulières s’a n’arrêtes pas la mort, mais semble la ralentir. Je vie comment ? Dans l’oublie d’un raccourcie, vers les boulevards des dévoués.. Comment veux tu croisé l’ombre des...
-
Dans le four à chiens . Henri Michaux
Dans le four à chiens on garde l'affection du chien. Sinon la bête morte, perdue son affection. . C'est pourquoi avec des larmes de tristesse et aussi quelques simagrées, des femmes destinées du reste souvent à se repentir, confient au chauffeur du four,...
-
Le baiser
Toute usée brisée la fillette bronze sur l’escalier du monde ….Le monde au ciel bleu aux oreilles rougies … Les mains des jeunes filles sont aujourd’hui de la police… Un baiser de quartier ….Un long et tendre, comme il faudrait ….rouge …dans l’été d’Epinay...
-
DPS ICE
Ah ..... S'eccueillir camisolement aux vergers des océans Nos vieux blanchissent s'edentant En possible spé dps ice sur les vitrines de leader-price A Epinay sur seine le 27 avril 2008
-
Blog à zéro
Mon blog à zéro Comme le Bloc des dactylos Il y a si longtemps les dactylos….. Bloc et Blog jauni Leurs doigts avant vernis Flèches rouges sur la bakélite
-
Le cireur de chaussures
(100% cirage magique ) Vol sur 100 m garantie !
-
Plus rien
Cela ne se tarit pas Quand je serai cendre J’écouterais encore mes pas Le peu de ce qui me reste à pendre Sur l’ombre de la lèvre Le prodige sans trêve De la douleur De la douleur Qui transperce son prochain Et ce sacré plus rien Et ce sacré plus rie...
-
Becquerel
La science et sombre et garde pour elle la subtile blancheur des lendemains qui chantent .. Les fées mortes sous les radiations Nos noëls à Becquerel Sont nos demains ….malédiction..
-
L'enfance
De retour un troupeau de fossile des anges déchu … Voici le balai poudreux un antre sans ventre des enfances qui mordent … La vie naine qui se change en géante.. L’odeur en insomnie une petite famille de sale malice … Une soupe à la grimace qui fume une...
-
Semeur de peste
Sèment dans un grand matin des miradors … Des étoiles qui nous décompose l’or ___ La peste venait de leurs décompositions … Le grand metteur en scène criait action Et des mendiants graisseurs de portes Des petites pestes… en quelque sorte.. Brûlaient...
-
Printemps
À peine le printemps nous brûlerons Comme Rimbaud les liserons Belle lessive de saisons Qui azure nos passions À peine le printemps nous brûlerons Nos yeux, le rouge au front… À peine le printemps nous brûlerons Comme Rimbaud les liserons
-
tf1
Je suis parti je suis parti Voici mon âme de cirque Voilà mes yeux qui piquent Devant l’écran des répartit Tf1 dinosaure endoctrineur Peine à sucer les heures
-
Eschatologie
Ombre qui attends l’eschatologie en faisant des regarde moi … Oh …quand ….ne parlons pas …Que de moi .. Ou peut être des caméras qui coincent les visages dans ces drôles de glaces … Des millions de routes sur mon cœur il y a des clous … Libres et bien...
-
Fatigue
Fatigue mépris et bas prix Encore la fatigue et mépris Toujours à bas prix leurs vies La grue qui lui tombe dessus Le sang en pardessus L’abrutissement les mains sale Sans Sartrien distingué et pâle…
-
Ratures
Aujourd'hui il à fait beau Il faut le revendiquer ! Mon coeur à pirogué dans le vert des ratures...
-
Banlieue lointaine
Je sais la queue des gens Une banlieue on attend Je sais les bravos à l'ombre L'intélligence encombre ! Ressemelons nos pieds à cette chanson Ressemelons nos pieds à cette chanson!
-
La mer ses atomes et l'autre coté...
Je faisais une louche enseigne d'auberge . -Un orage vint chasser le ciel. Au soir L'eau des bois se perdait sur les sables vierges, Le vent de Dieu jetait des glaçons aux mares ; Pleurant, je voyait de l'or- et ne pus boire.- Arthur Rimbaud (Une saison...